Emma construit des ponts entre les disciplines en s’inspirant principalement de pratiques vernaculaires et low-tech. Son récit s'articule autour de la notion de cohabitation et de réaffectation. À partir d’un répertoire personnel de techniques et de matériaux, elle s’ajuste aux ressources en présence pour faire des contraintes du réel la matière même de son terrain de jeu. Elle s’intéresse à la traduction des gestes et des savoirs, à la circulation des objets entre les cultures : les « sous-communs"